Le rêve polynésien
D'île en île (forcément pas toutes) ce reportage de Daniel
Deflorin nous fait redécouvrir la
Polynésie française si vaste et synonyme de douceur de vivre.
Tahiti tellement dans nos esprits qu'elle est un peu l'oubliée de la
plongée, Moorea l'île au
requins citron (en autres) auxquels le magazine consacre une fiche bio, Raiatera et Tahaa des perles hors des sentiers battus. La page "carnet de voyage" qui ponctue l'article fournit tous les renseignements pratiques.
Sea Shepherd fait appliquer les lois
Dans cette interview accordée au magazine, la présidente de l'association Sae Shepherd France - Madame Lamya Essemlali - rappelle la mission de l'organisation et les actions menée notamment contre la pêche des
requins et le shark finning. Elle invite notamment les
plongeurs à faire des dons pour aider l'association à mener ses campagnes contre le braconnage.
Berger de la mer
Son métier est devenu une passion. Gérard Carrodano, l'ancien champion de chasse sous-marine, pêcheur professionnel en
bateau à la Ciotat, est devenu un spécialiste de la capture de
poissons vivants pour les
aquariums (Nausicaa, l'aquarium de Monaco, celui de Berlin et quelques
aquariums américains).
Alain Pouchon et Philippe Joachim lui consacre un article qui a obtenu le prix du meilleur reportage
sous-marin au
Festival d'Antibes
(FMISM). On y découvre un passionné de la
mer et des
poissons, les multiples facettes d'un personnage attachant et ses techniques de capture qui sont bien souvent le fruit de ses recherches et de son insatiable curiosité.
Sauvetage, de l'école à la réalité
Alain Delmas explique dans son enquête le décalage qu'il peut y avoir en matière d'assistance entre les gestes appris en école de
plongée et la réalité du terrain.
La
plongée repose (en dehors du débutant totalement assisté par un
moniteur), rappelle-t-il, sur un principe d'autonomie relative et d'évolutions partagées en
palanquée. Pour autant, en cas de difficulté les
signes de détresse sont rarement utilisé, c'est un fait, et les
matériels évoluent au point que nous devrions sans cesse actualiser nos compétences de
plongeurs autonomes.
Alain Delmas met ainsi l'accent sur les limites de l'apprentissage en milieu artificiel et rappelle la nécessite de poursuive la formation au
sauvetage en milieu naturel afin de mettre les
plongeurs autonomes le plus possible dans des conditions réelles de
sauvetage.