En 1963, trois athlètes offrent à la France une victoire par équipe au championnat du Monde de chasse sous-marine au Brésil. Hugues DESSAULT, Tony SALVATORI et Robert STROMBONI entrent dans la légende.
La saga est lancée en 1975. Hugues Dessault, travaille sa première "trouvaille" : un nouveau système de mécanisme d'arbalète : la gâchette "haricot" présente aujourd'hui dans toutes les crosses. Fort de ce succès, il se lance à corps perdu dans l'innovation technique.
Un an plus tard, la palme bi matière fait l'objet du premier brevet technique auprès de l'Inpi. Le concept permet de dissocier la voilure du chausson, offrant des longueurs et des duretés différentes. Evident aujourd'hui mais, à l'époque, toutes les palmes étaient intégralement en caoutchouc.
L'atelier de fabrication de combinaisons en néoprène ouvrira dès 1978 à Montpellier. D'abord réservées aux chasseurs voulant du sur-mesure, les combinaisons Dessault ont vite conquis les chasseurs français et étrangers grâce à la qualité des néoprènes utilisés mais aussi au savoir-faire Dessault : couture en surjet, non traversante, coupe anatomique.
Devant ce succès, l'atelier élargit, deux ans plus tard, sa clientèle aux plongeurs professionnels (conchyliculteurs, pompiers, scaphandriers démineurs de l'armée, Ponts et Chaussées, corailleurs, etc..), tous intransigeants sur la qualité des produits.
Dessault développe alors un réseau international de points de vente en Italie, Espagne, Grèce, Turquie, Croatie et plus de 50 magasins en France et DOM-TOM.
Desormais, Dessault s’ouvre à de nouveaux marchés outre atlantique. Les nouveaux néoprènes proposés par Dessault offrent une telle souplesse que certains tissus très épais deviennent accessibles.
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